Vous l’aurez sans doute remarqué en l’observant par vous-même: les vélos électriques se multiplient dans les bourgs et centres-villes, et désormais jusque dans les campagnes, qui commencent à l’adopter grâce aux progrès notables réalisés sur le plan de l’autonomie. Bien plus qu’un effet de mode, cette tendance est bien partie pour s’inscrire dans la durée. Logique, avec les multiples avantages que retirent les propriétaires de vélos électriques qui l’ont troqué à la place de leur voiture, séduits par ses vertus écologiques et environnementales bien sûr, mais aussi par l’amélioration de la qualité de vie au quotidien qu’ils apportent, sans oublier les économies qu’ils réaliseront comme nous le verrons dans la suite de cet article.
Plan de l'article
Adopter un mode de vie écoresponsable en améliorant son bien-être personnel
Changer son véhicule pour un vélo électrique revêt bien des facettes, et à l’image de la grande majorité des gestes écologiques décidant d’employer au maximum son vélo électriques pour les trajets journaliers, on prend en effet sa part dans la réduction des émissions de gaz à effets de serre et microparticules causées par les véhicules thermiques. C’est donc une excellente manière de contribuer à rendre notre atmosphère plus respirable.
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L’adoption d’un vélo ou de tout autre type de véhicule électrique réduit en conséquence la pollution de l’air, mais également la pollution sonore dans les agglomérations. Cette dernière est trop souvent oubliée ou minorée, et pourtant elle est aussi une source de nombreuses nuisances, pour les hommes comme pour les espèces animales. Le vélo électrique apporte par conséquent une réelle contribution à l’intérêt général, faisant de son utilisateur un usager du tissu urbain plus vertueux et respectueux vis-à-vis de ses concitoyens, en plus d’influer directement sur la qualité de vie des personnes qui l’adoptent.
Une mobilité douce comportant son lot d’avantages pratiques et financiers…
Grâce à sa faculté de se faufiler dans les embouteillages sans effort, se déplacer en vélo électrique à l’heure de pointe en centre-ville est plus rapide qu’avec une voiture, et c’est aussi fréquemment le cas même lorsque la circulation est fluide. Sur le temps de trajet, mais aussi grâce au temps gagné en s’épargnant la recherche d’une place de stationnement. C’est aussi autant de temps de gagné en s’affranchissant du passage en station service, puisque l’on peut recharger sa nouvelle monture directement depuis chez soi, sur son lieu de travail, …
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C’est aussi réaliser de belles économies qui permettent d’amortir l’achat d’un vélo électrique en un temps record, surtout à l’heure ou l’augmentation du carburant n’en finit pas d’atteindre des sommets, devenant prohibitifs pour un nombre grandissant de personnes. Des économies sur le carburant donc, mais aussi sur les frais associés à la possession d’une voiture ou autre véhicule à moteur thermique, que sont les réparations et la maintenance, sans oublier les frais d’assurance qui, eux aussi, ne sont pas épargnés par l’inflation galopante.
L’adoption d’un vélo électrique convient à tous les profils, milieux et ages, de l’étudiant au salarié, en passant par les parents qui trouveront là un moyen pratique et agréable d’emmener les enfants à l’école et de procéder à leurs courses du quotidien. Et l’on pourra opter pour l’ajout d’une remorque adaptée pour plus de polyvalence, transporter plus d’objets ou des enfants en bas âge pour les trajets au long cours.
Ajoutons également que pour les foyers aux revenus modestes, des aides et subventions permettent de réduire substantiellement le coût d’acquisition d’un vélo électrique, celles-ci étant accordées par les collectivités locales, le gouvernement, ainsi que l’UE.
Changer de mode de vie en améliorant son bien-être.
Tous ces atouts font que certains ont décidé de se passer carrément de la possession d’une voiture, en général, des personnes vivant en ville ou en agglomération, ou l’usage du vélo électrique et des transports en commun se complètent parfaitement. Lorsqu’un besoin ponctuel de voiture survient, il reste en effet toujours possible de louer une voiture juste le temps nécessaire où de pratiquer le covoiturage. Un choix malin, puisque cela permet de s’affranchir des angoisses dues au stationnement de celle-ci, tout en permettant d’économiser une somme rondelette sur les charges fixes que la possession d’une voiture implique, de son assurance à son entretien, sans oublier le contrôle technique, et bien sûr le carburant, qui est en passe de devenir un véritable produit de luxe avec les tarifs et les effets néfastes sur l’environnement qui lui sont associés.
D’autant qu’on constate ces dernières années une réelle prise en compte des mobilités douces par les pouvoirs publics et les collectivités locales pour les encourager, faciliter leur adoption et leur usage quotidien. Cela passe par des aides et subventions à l’achat, nous l’avons vu, mais aussi de l’aménagement urbain et des équipements associés. Ainsi, ces dernières années ont vu une nette amélioration des voies cyclables, tant en quantité qu’en qualité, mais aussi des aires de stationnement de vélos sécurisées, adaptées aux vélos électriques, qui essaiment sur le territoire, avec, il est vrai, des disparités en fonction des villes, certaines étant à la traine, mais la majorité d’entre elles déploie de réels efforts et réalisations qui vont dans ce sens. Ainsi, l’emploi d’un vélo électrique pour tous les trajets du quotidien devient de plus en plus simple et commode.
Aussi, au regard de toutes ces économies ainsi réalisées, auxquelles viennent s’ajouter les aides à l’achat d’un véhicule électrique, l’investissement que l’achat d’un vélo électrique représente sera très vite amorti, avec une amélioration de la qualité de vie en prime. Et bien sûr, tout en prenant part à relever les défis environnementaux et écologiques majeurs auxquelles notre génération et celles qui suivront devront répondre.